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La France à la 39e place du Classement de la liberté de la presse 2017 : une amélioration en trompe-l’oeilSource : Reporters Sans Frontières 26 avril 2017 La France se situe à la 39ème position du Classement de la liberté de la presse 2017 publié par RSF. L’année a été marquée par des attaques répétées contre les médias pendant la campagne électorale, une tendance à la concentration et des situations de conflits d’intérêts suscitant de grandes craintes pour l’indépendance éditoriale. La France gagne six places dans le Classement de la liberté de la presse 2017 pour se situer à la 39e position, alors que la situation des journalistes est loin de s’être améliorée. Cette remontée “mécanique”, qui se produit après la chute exceptionnelle que le pays avait connue avec la tuerie de Charlie Hebdo, lui permet de se replacer à son niveau de 2014. En 2017, elle se situe devant le Royaume-Uni (40e position, -2 places), les Etats-Unis ( 43e, -2). Elle se place en revanche loin derrière l’Allemagne (16e). Lire la suite...Liberté de la presse : 23 sociétés de journalistes inquiètes de l’attitude du gouvernementUne vingtaine de médias, considèrent que le gouvernement envoie « des signaux extrêmement préoccupants ».
Les signataires : Les sociétés des journalistes de l’AFP, Alternatives économiques, BFM-TV, Les Echos, Europe 1, L’Express, France 2, Rédaction nationale de France 3, Libération, les JT de M6, Mediapart, Le Monde, L’Obs, Le Point, Premières Lignes Télévision, Radio France, RFI, RMC, RTL, Télérama, La Vie et les rédactions de Dream Way Production et LaTeleLibre. 13.06.2017 Les sociétés de journalistes de vingt-trois médias, considèrent, dans le communiqué commun ci-dessous publié mardi 13 juin, que le gouvernement continue d’envoyer « des signaux extrêmement préoccupants » au regard de l’indépendance des médias et de la protection des sources. TRIBUNE. Le nouvel exécutif a-t-il un problème avec la liberté de la presse ? Le 18 mai, nous nous étions inquiétés de la façon dont l’Elysée organisait le voyage au Mali du président de la République, en sélectionnant les journalistes chargés de couvrir ce déplacement. Pas question d’« imposer » des choix aux rédactions, fut-il alors répondu. Or la semaine dernière, ce sont cette fois deux ministres qui ont envoyé des signaux extrêmement préoccupants, quant à la manière dont ils conçoivent l’indépendance des médias et la protection des sources, ou plutôt leurs limites. Lire la suite...Accés aux archives : la liberté d’informerSource/petition : Liberté d’Informer 29/09/2006 Pour écrire l’histoire de notre pays, il est nécessaire de lever les zones d’ombre qui entourent de grands événements en déclassifiant certains documents. Les journalistes, les parlementaires et les citoyens sont trop souvent confrontés au devoir de réserve des fonctionnaires, au secret d’Etat, au secret défense et au secret judiciaire. Depuis avril 2004, près de 400 journalistes de toutes les rédactions de France, des parlementaires, des éditeurs, des juristes, des représentants de la société civile ont signé l’appel à une modification de la loi en faveur d’un accès plus libre à l’information. Appel rendu public par Libération le 1er avril 2004, consultable ci-dessous avec les signataires. Pourquoi une loi ?Aux Etats-Unis et dans les pays scandinaves, la transparence fait loi, et le secret exception. Votée en 1966 aux Etats-Unis, la « Freedom of Information Act » (loi de liberté de l’information), oblige toute administration, même la plus sensible, à fournir au public l’accès aux documents, sous réserve de neuf exceptions qui devront être correctement motivées. Les administrations, le FBI, la CIA, se réservent ainsi le droit de censurer les informations considérées comme préjudiciables à la sécurité nationale. En France, nous sommes aujourd’hui loin de ce dispositif. Une loi votée en 1978 permet théoriquement l’accès aux documents administratifs. En réalité, elle est rarement utilisée. Tous les documents administratifs sensibles sont systématiquement classés « confidentiel défense ». Dès qu’un document mentionne une identité, il est rendu inaccessible. Il peut sembler naïf de s’attaquer à notre tradition d’opacité étatique. Mais nous pensons qu’en matière d’information, aligner le droit français sur le droit américain et scandinave irait dans le sens d’une plus grande modernité démocratique. La fermeture de l’accès aux sources d’informations livre encore plus les journalistes aux manipulateurs. Il nous paraît urgent d’établir des règles du jeu plus ouvertes. En cette époque de défiance vis-à-vis du politique, nous jugeons primordial d’offrir enfin en France, un mécanisme de contre-pouvoir citoyen visant à un accès plus libre à l’information. Lire la suite...La loi sur les archives votée : un compromis lourd d’ambiguïtés et de menacescommuniqué de l’AUSPAN sur le texte adopté en 2e lecture au Sénat le 15 mai
Source :Parlements.org 02 juillet 2008 Le 15 mai au soir, le Sénat a adopté en deuxième lecture le texte de loi sur les archives, reprenant à l’identique l’essentiel du texte voté par l’Assemblée le 29 avril dernier. Le compromis entre le projet du gouvernement initial et les modifications introduites par le Sénat en première lecture a été entériné. La loi nouvelle affirme le principe du droit d’accès immédiat aux archives publiques de tous les citoyens, et réduit dans l’ensemble les délais de communicabilités pour les archives réservées. Nous pourrions donc nous féliciter de cette adoption. Mais le texte introduit de manière pernicieuse une notion anti-démocratique - l’archive incommunicable - et une définition nouvelle, approximative et dangereuse de la vie privée. En résulte une loi déséquilibrée et imparfaite, éloignée à la fois des ambitions progressistes affichées et de la volonté d’aligner le traitement des archives publiques françaises sur celui en vigueur dans les grandes démocraties. Lire la suite...Crise financière : Elie Cohen, Nicolas Baverez, Jacques Attali, les disqualifiésSource : Le Monde Diplomatique
26/11/2008 Après le krach boursier, la faillite intellectuelle : au nombre des victimes collatérales du naufrage financier figurent la poignée d’économistes qui dispensent la bonne parole dans les médias. Libéralisation, déréglementation, privatisation : leur credo tenait en trois mots. Quand bien même une pendule arrêtée donne l’heure juste deux fois par jour, ces « spécialistes » ont étalé leur constance dans l’erreur. En détailler le menu évite que leur ardoise se trouve subitement effacée, à l’instar de celle des banquiers. Si c’était une attraction de la Fête à Neu-Neu, pour y faire venir des intellectuels, on l’appellerait « le trombinoscope giratoire » — et pour les plus petits « le manège aux cornichons ». A la télévision, à la radio, dans la presse écrite, qui pour commenter l’effondrement du capitalisme financier ? Les mêmes, bien sûr ! Tous, experts, éditorialistes, politiques, qui nous ont bassinés pendant deux décennies à chanter les louanges du système qui est en train de s’écrouler : ils sont là, fidèles au poste, et leur joyeuse farandole ne donne aucun signe d’essoufflement. Tout juste se partagent-ils entre ceux-ci qui, sans le moindre scrupule, ont retourné leur veste et ceux-là qui, un peu assommés par le choc, tentent néanmoins de poursuivre comme ils le peuvent leur route à défendre l’indéfendable au milieu des ruines. Lire la suite...Hadopi : surveiller et punir InternetSource : Le monde diplomatique
jeudi 12 mars 2009 Nicolas Sarkozy est le partisan résolu d’une gouvernance moderne, basée sur un dialogue avec l’opinion publique à travers les médias et les corps constitués. Son usage de l’outil législatif manifeste cette option. Plutôt qu’à établir les règles du jeu social, les lois soumises au Parlement servent à adresser des messages ou à afficher une politique. C’est bien sous cet angle qu’il convient d’examiner la loi « Création et Internet », ou Hadopi, du nom de la nouvelle administration qu’elle institue. Son but avoué est de limiter l’échange de fichiers audiovisuels en ligne, défini comme « piratage », par la suspension de l’abonnement pour les comptes recourant aux plates-formes de partage, ou peer to peer, pour télécharger et diffuser des contenus protégés par le droit d’auteur. Du moins, tel était son objectif il y a deux ans, lorsque la ministre de la culture Christine Albanel chargeait le PDG de la FNAC — devenu entre-temps celui du Nouvel Observateur —, Denis Olivennes, de résoudre l’impasse créée par le dispositif supposé réguler les « droits d’auteurs et droits voisins dans la société de l’information » (DADVSI) — un texte si mal adapté à son objet qu’il n’a jamais pu être pleinement mis en application. Lire la suite...Coup de Gueule !Source : Jean Yves Secheresse
26.01.2010 En se privant de 600.000 euros de publicité pour laisser une heure d’émission sans coupures à Sarkozy, TF1 ne lésine pas sur les moyens pour aider le Président à redresser la tête dans les sondages, ce qui ne veut pas dire dans le cœur des français. Cet exemple en dit long sur les liens qui unissent l’Elysée et les grands média à sa disposition. Que ce soit ceux du secteur privé lié par l’amitié et la connivence avec Sarko ou ceux du service public dont le PDG est désormais sous tutelle du chef de l’Etat, il est vrai à un très bon salaire (2 700 000 euros par an). Editocratie et réacosphère multicarte
À quoi sert Eric Zemmour ?Source : Acrimed
le 30 mars 2010 Dépôt de plainte de la Licra et menace de licenciement par Le Figaro, retirés après les « excuses » présentées par Éric Zemmour sur sa dernière sortie justifiant les contrôles au faciès par l’origine noire et arabe de « la plupart des délinquants »… Accusation portée contre Ardisson et dépôt de plainte de ce dernier… Éditoriaux en cascade, tribunes libres à profusion… Qu’est-il encore possible de faire entendre dans le tintamarre qui accompagne les dernières prises de position d’Éric Zemmour ? Lire la suite...Hommages à Michel Polac sur Twitter10 avril 1930 - 7 août 2012
Source : Twitter 13 aout 2012 Michel Polac est mort à 82 ans, le 7 août 2012. Journaliste de presse, de télévision et de radio, producteur, écrivain, critique littéraire et cinéaste, son émission "Droit de réponse" sur TF1, reste dans les mémoires, preuve en est sur Twitter, dès l’annonce de son décès. Extraits : @caroairiau Une pensée pour POLAC qui vient de nous quitter aujourd’hui ! Chapeau Monsieur ! Droit de réponse reste une émission culte et unique #polac @maxdelrue Adieu Polac ! Un grand, un tout grand qui m’a aussi eveillé a une forme de conscience collective ! #michelpolac #Polac @EASSAYAG Michel Polac c était le Gainsbourg des journalistes. Cultivé, talentueux et insolent. #polac @David_twi #Polac Je lui dois une grande partie de mon ouverture d’esprit à la contradiction, au débat d’idées, à la curiosité culturelle ! RIP ! @GEGE71000 Au revoir monsieur #Polac , tu en aura remis à leur véritable place des cons qui se prenaient pour le nombril du monde !!!! Merci encore @Mailer75 Merci Michel Polac pour m’avoir ouvert tant de fenêtres vers la littérature et la liberté de pensée. @piEtonpArisien Eh la mort ! Tu peux toujours ricaner, saleté. Contre toi, Michel Polac aura toujours un Droit de Réponse. @steakbiarritz @Charlie_Hebdo_ Michel Polac est mort. En sa mémoire TF1 continuera à faire de la télé de m..... @Artepanema #Michel Polac est mort. Le vide culturel et le politiquement correct prennent de l’essor, coquin de sort ! Lire la suite...Manifeste pour un nouvel écosystème de la presse numériqueSource : Le Spiil 16 janvier 2013 Le Spiil dresse dix constats et fait dix propositions : La liberté, l’indépendance et la diversité de la presse constituent des éléments fondamentaux des sociétés démocratiques. Il est essentiel que ces valeurs, fruit d’une longue histoire, soient préservées. Demain comme hier, le rôle de la presse devra être d’investiguer, d’analyser, de commenter, de vérifier et de hiérarchiser, de mettre en perspective, de donner du sens à des événements complexes, de déranger et de surprendre, d’instruire et d’éduquer. Bref, d’informer, en s’appuyant sur des équipes de journalistes professionnels disposant des moyens nécessaires pour accomplir ces tâches difficiles. Toutefois, le contexte économique, technologique et social de demain sera radicalement différent. Une révolution industrielle a été engagée il y a près de 20 ans déjà, avec la naissance du Web. Alors qu’elle n’en est encore qu’à ses débuts, elle remet totalement en cause les outils de production et de distribution, déstabilise les modèles économiques et ébranle les choix éditoriaux. Lire la suite...Le totalitarisme marchand De la publicité à...la manipulation
Source : Bellaciao
mercredi 22 septembre 2004 (10h27) : Patrick Le Lay, PDG de TF1, a déclaré : « A la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. Or, pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont vocation de le rendre disponible. C’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du cerveau humain disponible ». Cette déclaration, qui entrera, à n’en pas douter, dans une anthologie des moyens de communication aux 21e siècle, reflète une profonde vérité. Elle illustre les conditions sociales modernes des conditions de la réalisation de la valeur marchande.Elle illustre mieux que de longs discours ce qu’est le règne de la marchandise au faîte de sa domination. Notre cerveau ne serait, aux dires de Monsieur LE LAY « pas disponible », puisque, comme il le dit il s’agit « de le rendre disponible ». Mais qu’est ce qu’un cerveau « non disponible » selon lui ? C’est certainement un cerveau autonome, qui réfléchit, qui se pose des questions, qui est capable de dire « oui » ou « non »... autrement dit un cerveau libre... un esprit libre. Or cette situation est intolérable au regard des exigences de la marchandise. Lire la suite...Conformisme à la FrançaiseLe Centre de formation des journalistes saisi par l’argent-roi
Source : Le Monde Diplomatique
23/09/2005 Comment l’enseignement du journalisme parvient-il à fabriquer en série et au moindre coût des professionnels disposés ou résignés à faire de l’information telle qu’elle est devenue ? Pourquoi des aînés ayant intériorisé les contraintes du marché s’ingénient-ils, avec conviction et sincérité, à les faire adopter par leurs cadets, afin que tous se sentent « libres » dans des médias « libres » ? A ces questions, une plongée dans le Centre de formation des journalistes (CFJ) de Paris offre bien des réponses. Issue de la Résistance et porteuse, hier encore, de la conception rigoureuse et de l’éthique chères à Hubert Beuve-Méry, fondateur du « Monde », l’école de la rue du Louvre a subi une mue caractéristique. Avec l’argent-roi, le conformisme y a pris le pouvoir. Ses diplômés n’ont plus besoin d’« aller aux ordres » pour servir les puissants : pour beaucoup d’entre eux, tout est déjà dans l’ordre... C’est une curiosité du journalisme : ses membres appartiennent à une profession dite « ouverte », qui n’exige aucun diplôme pour son exercice. Et, de fait, seuls 12 % des titulaires d’une carte de presse sortent d’un des neuf établissements agréés : les IUT de Bordeaux et de Tours, le Centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ) de Strasbourg, l’Ecole de journalisme et de communication de Marseille (EJCM), l’Ecole supérieure de journalisme de Lille, l’Ecole de journalisme de Toulouse et - à Paris - le Centre de formation des journalistes (CFJ), le Celsa et l’Institut pratique du journalisme. Cette faible proportion apparente masque un important clivage : d’un côté, une presse régionale et une presse spécialisée qui recrutent, massivement, parmi les non-diplômés. De l’autre, des médias plus renommés (AFP, France-Inter, France 2, etc.) qui considèrent le passage par une école comme « une étape quasi indispensable » : « Voir désormais un jeune grand reporter "formé sur le tas" semble de plus en plus improbable dans les médias nationaux (1). » C’est une évolution notable du métier : là où on entrait, jadis, par la petite porte ou grâce à un piston, un titre scolaire est désormais requis. Lire la suite..."Bien entendu...c’est off" de Daniel Carton (extraits)Source : ACRIMED Publié le mardi 14 janvier 2003 "Bien entendu... c’est off" Ce que les journalistes politiques ne racontent jamais ", de Daniel Carton (Albin Michel, 2003) est le récit de plus de vingt ans d’exercice professionnel d’un journaliste, d’origine modeste, exerçant à "La Voix du Nord" puis aux services politiques du "Monde" et du "Nouvel Obs". Quelques passages puisés dans les cinq premiers chapitres. Lire la suite...Les nouveaux chiens de garde...(extrait)Serge Halimi, éditions Liber - Raisons d’agir 23/09/2005 "Les médias français se proclament "contre-pouvoir". Mais la presse écrite et audiovisuelle est dominée par un journalisme de révérence, par des groupes industriels et financiers, par une pensée de marché, par des réseaux de connivence. Lire la suite...Médias en criseSource : Le Monde Diplomatique
janvier 2005 De la qualité de l’information dépend celle du débat citoyen Rien ne symbolise mieux le désarroi de la presse en France, confrontée à une baisse alarmante de sa diffusion, que la récente disposition du quotidien Libération, jadis maoïste, à favoriser la prise de contrôle de 37 % de son capital par le banquier Edouard de Rothschild... Il y a peu, le groupe Socpresse, qui édite quelque 70 titres dont Le Figaro, L’Express, L’Expansion et des dizaines de journaux régionaux, a lui-même été acquis par un fabricant d’armes, M. Serge Dassault. Et l’on sait qu’un autre industriel de l’armement, M. Arnaud Lagardère, possède déjà le groupe Hachette (1), qui détient quelque 47 magazines (dont Elle, Parents, Première) et des quotidiens comme La Provence, Nice-Matin ou Corse-Presse. Si cette chute de la diffusion venait à se poursuivre, la presse écrite indépendante risquerait peu à peu de tomber sous le contrôle d’un petit nombre d’industriels - Bouygues, Dassault, Lagardère, Pinault, Arnault, Bolloré, Bertelsmann... - qui multiplient les alliances entre eux et menacent le pluralisme. Lire la suite...Vu à la TV...Le 01/06/2005 Dans "Cultures et dépendances" (France3)
Serge Dassault sur la gauche..."Les idées de gauche ne sont pas des idées saines",
10.12.2004 AP) "Les journaux doivent diffuser des idées saines" et les "idées de gauche ne sont pas des idées saines", a estimé sur France Inter Serge Dassault, PDG du groupe Dassault et de la Socpresse (propriétaire du Figaro et du groupe Express-L’Expansion), et sénateur UMP. Lire la suite...
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