Le Village Fédéral est un espace de réflexion et de compréhension des enjeux majeurs actuels.

Ce travail nous apparaît nécessaire. Nous voulons aider à faire la part des choses dans des cerveaux saturés par une surinformation permanente et indifférenciée. Ce site gratuit est animé par des contributeurs professionnels et non professionnels bénévoles.

Nous voulons contribuer à éclairer de manière critique les choix publics, et proposer une source d’information "alternative" à "valeur ajoutée".

Nous voulons formuler des pistes et signaler les actions remarquables. Nous sommes des citoyens indépendants, militants du droit a l’Information et défendons des valeurs humanistes telle que la solidarité.

Nous voulons alimenter le débat public. En effet le libéralisme économique ne va pas toujours de pair avec celui de l’information.
Ici des journalistes pourront "libérer leurs plumes"(anonymement ou pas). Nous nous chargeons par ailleurs d’extraire les pépites disséminées ici ou là. Ce site est un " agrégateur de consciences", car même en période de pré barbarie, le savoir est le premier pas vers la liberté...

Sans Frontières

L’aspiration à la liberté est universelle mais la guerre représente aujourd hui le visage le plus dur et le plus sombre du libéralisme.

La guerre et l’occupation de l’Irak, l’occupation de la Palestine, les massacres en Tchétchénie et les guerres cachés du continent africain, les dictatures soutenues par nos "démocraties", et des médias par trop complaisants, ruinent l’avenir de l’humanité.

Nous soutenons les mouvements israéliens et palestiniens qui se battent pour une paix juste et durable. Nous demandons la fin de l’occupation israélienne et la destruction du mur de l’apartheid. En effet dans ces conflits comme dans d’autres, qui sème l’injustice récolte le terrorisme.

Sur Bloomberg tv un économiste affirmait : " grâce à George w Bush, aux USA, c’est la première fois qu’un si petit nombre de gens font autant pour un si petit nombre de gens". Et l’on peut ajouter, à quel prix pour les autres...

C’est le règne du "fascisme démocratique", dont le mobile est "l’argent dieu".

Europe

L’ union européenne est également confrontée aux barbaries économiques, écologiques et sociales.

Nous voulons une Europe qui rejette le sexisme , les violences faites aux femmes et reconnaît le droit à l’avortement et l’égalité des rémunérations. Nous soutenons tous ceux qui refusent de servir dans l’armée.

Nous rejetons la privatisation des " biens communs" comme l’eau. Nous soutenons la campagne contre les OGM. Nous sommes pour une agriculture qui préserve et défende la qualité de l’environnement et des produits agroalimentaires

Nous voulons un fonctionnement plus démocratique des instances dirigeantes européennes, et une condamnation ferme des régimes totalitaires notamment à l’est du continent.

Les inégalités offrent un terreau a l’extrême droite en Europe, elles favorisent aussi tant le scepticisme civique que le cynisme social.

France

En France, c’est la sinistrose. La précarisation est en marche. Dans une note des préfets publiée il y a quelques mois par "l’Express", on pouvait lire "Les français ne croient plus en rien. C’est même pour cela que la situation est relativement calme, car ils estiment que ce n’est même pas la peine de faire part de son point de vue ou de tenter de se faire entendre". Mais il y eu la déroute de la droite aux élections régionales, le rejet de la constitution Européenne, trois semaines d’émeutes en banlieues et le rejet du CPE.

La pauvreté ne suffie pas toujours à faire taire les gens.

Avec ces institutions sclérosées (un exemple, le sénat de droite à "perpétuité"), la France est encore une "République bananière", une démocratie inachevée. Les Français méritent mieux de leur classe politique, en attendant, ils subissent...

Après la "fracture sociale", slogan électoral chiraquien, il y eu le "plan de cohésion sociale", coquille quasi vide signée Jean Louis Borloo, et maintenant les contrats " à l’essai pendant deux ans "de De Villepin.

Pendant ce temps, les banlieues désespèrent, les" travailleurs pauvres" sont de plus en plus nombreux, chantage à la délocalisation, chômeurs recevant moins souvent une indemnisation.

Nombre de Rmistes en hausse, les loyers flambent, nombre record d’expulsions pour loyers impayés, record de ménages surendettés. La discrimination raciale sévit toujours, on emprisonne les pauvres faute de vouloir réduire la pauvreté (taux d incarcération record). C’est la criminalisation de la pauvreté (ex : les prisons pour mineurs de 13 ans en construction).

Bref une politique source d’inégalités, la fracture sociale devenant béante.

Une "caste" politique déconnectée de la société réelle, méprisante, sans véritable contre pouvoir. Des médias souvent complices,(exemple,une sarkophilie debridée,Sarkozy nicolas,bougiste démago,carnivore populiste limite dangereux), et de plus en plus décrédibilisés,( selon une enquête d’ opinion, 57 % des Français ne croient plus les journalistes).

Un gouvernement autiste, spécialiste de l’effet d’annonce, idéologue et pratiquant une langue de bois congelée, un débat public aseptisé, résultat nous sommes en pleine régression sociale.

Comme le dit JAMEL DEBOUZE "L’ascenseur social est resté bloqué au sous sol où ça sent la pisse...". Nous voulons une politique de progrès, institutionnelle, économique et sociale.

Une démocratie se doit de préserver le droit à une information de qualité, libre et pluraliste. Malheureusement, depuis quelques années, la concentration et la main mise financière sur les médias deviennent inquiétantes.

En France, trois ou quatre marchands d’armes et constructeurs de bâtiments et travaux publics (donc très dépendants des commandes publiques) ont la haute main sur la très grande majorité des médias.

La société toute entière passe ainsi sous la coupe d’un pouvoir à la fois médiatique, économique et politique qui ne tolère de critique que de lui même.

Modèles

Même si tout n’ y est probablement pas parfait non plus, nos modèles sociaux économiques sont plutôt à chercher du côté des pays scandinaves, dont nous avons beaucoup à apprendre.

Moins de prébendes, de corruptions, des institutions vraiment démocratiques, une véritable transparence et une réelle égalité des sexes (notamment en politique).

Une bonne protection : santé, retraite, logement, bref, des solidarités réelles, des sociétés plus harmonieuses, plus proche de l’idéal commun auquel nous aspirons.

Jean François Adélaïde
administrateur
le 06/10/2006

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Exemples de sujets traités :

Les élections / L’ environnement / L’ information / La formation / La pauvreté / Les lois / Les institutions politiques / La justice / La santé / La protection de l’enfance / L’égalité des sexes / La protection des personnes âgées / La corruption / Les prisons / Les discriminations / La défense des consommateurs / Le droit au logement / Les conflits / L’humour / Le patrimoine.